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Boletín español, el 01 de marzo 2015

 LA PAZ POR EL TOURISMO  

En su discurso de apertura en el Simposio sobre la Paz a través del Turismo en Johannesburgo, Sudáfrica, el Secretario General de la Organización Mundial del Turismo (OMT) de las Naciones Unidas, Taleb Rifai, enumeró tres maneras en que el turismo puede promover la paz

“1. El turismo genera respeto y la comprensión mutua y promueve billones de encuentros que son pasos hacia la comprensión. Turismo promueve educación, puede ser sensible a la paz y hace viajeros ciudadanos del mundo.

‘2. Turismo crea muchos puestos de trabajo. Eso puede ayudar que las comunidades valoren su lugar en el mundo y lo que tienen que ofrecer. Puede ayudar a la gente valorar su música, el arte, la gastronomía, etc.

“3. Turismo lleva a la reconciliación entre las sociedades. Puede abrir las mentes de las personas a otros visitantes.”

En los tres días siguientes, del 17 al 19 de febrero, los oradores ilustran cómo estos temas se manifiestan en la práctica.

Encuentros que contribuyen a la comprensión son organizados por Tour2.0 en las ciudades de Sudáfrica de Soweto y Alexandra, según lo descrito por Daniel Adidwa. Como él dice, “Cada comunidad tiene una historia única para contar. Permitimos al visitante descubrir sus particularidades.”

La creación de empleo fue enfatizado por David Scowsill, director general del Consejo Mundial de Viajes y Turismo. Turismo “emplea a más de 12 millones de personas en Europa y 63 millones en Asia y 8 millones en África… Crece 1% más rápido que el resto de la economía mundial cada año.”

La reconciliación es promovida por parques de la paz transfronterizos en el sur de África, como se describió en la conferencia por Paul Bewsher. Aunque la atención se centra principalmente en la protección del patrimonio natural, también hay ejemplos de iniciativas culturales transfronterizas como Ae Hai Kalahari Heritage Park, que está gestionado en parte por representantes de la comunidad ‡ khomani san y Mier que fueron separados previamente por las fronteras coloniales.

El Instituto Internacional para la Paz a través del Turismo, y su presidente Lou D’Amore, han iniciado el simposio, como se informó anteriormente en CPNN. El Instituto ahora se está expandiendo, había una gran delegación, incluyendo 14 jóvenes de la nueva IIPT India. Ellos dijeron a CPNN que: “Para nosotros, en el pasado, el turismo era simplemente para descubrir nuevos lugares, pero ahora nos damos cuenta de que esto puede ser la oportunidad de conocer gente nueva y para promover la paz.”

Otra reunión de alto nivel se llevó a cabo en Camboya hace dos semanas con objetivos muy similares. La conferencia, dirigida por la Organización Mundial del Turismo (OMT) de las Naciones Unidas y la Organización de las Naciones Unidas para la Educación, la Ciencia y la Cultura (UNESCO), aborda la cuestión de cómo aprovechar el poder de turismo y cultura para reducir la pobreza, crear empleos, proteger el patrimonio natural y cultural y promover el entendimiento internacional.

      
DERECHOS HUMANOS

lgbt
La Caribbean Union of Teachers promueve los derechos LGBT

IGUALDAD ENTRE MUJERES Y HOMBRES


Esther Abimiku Ibanga to receive the Niwano Peace Prize

DESARME & SEGURIDAD


33 Latin American and Caribbean states call for negotiations on a nuclear ban treaty
355

DESARROLLO SOSTENIBLE


Peace Through Tourism by Taleb Rifai, Secretary General of UNWTO

LIBERTAD DE INFORMACIÓN


NetGain: Let’s Work Together to Improve the Internet

PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA


México: Ley de Justicia Alternativa debe estar aprobada antes de agosto

TOLERANCIA & SOLIDARIDAD


República Dominicana: Procuraduría y Fundación Justicia y Transparencia coordinan promover cultura de paz

EDUCACIÓN PARA LA PAZ


Más de 100.000 escolares participan en la red de centros ‘Escuela: Espacio de Paz’ en Almería, España

Bulletin français 1 mars 2015

LA PAIX A TRAVERS LE TOURISME

Dans son discours d’ouverture du Symposium sur le sujet de la paix à travers le tourisme, qui s’est déroulé à Johannesburg en Afrique du Sud, le Secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme des Nations Unies, Taleb Rifai, a énuméré trois moyens par lesquels le tourisme peut promouvoir la paix

“1. Le tourisme favorise le respect et la compréhension mutuels. Il provoque des millards des rencontres ce qui constitue de réelles étapes vers une meilleure compréhension. Le tourisme construit notre éducation, il peut sensibiliser à la paix et rendre les voyageurs citoyens du monde.”

“2. Le tourisme améliore les moyens de subsistance et crée de nombreux emplois. Il peut aider les communautés en valorisant leur place dans le monde et ce qu’elles ont à offrir, en faisant découvrir leur musique, leur art, leur gastronomie, etc.”

“3. Le tourisme mène à la réconciliation au coeur des sociétés et entre elles. Il peut ouvrir l’esprit des gens à d’autres visiteurs.”

Sur les trois jours qui ont suivi l’ouverture du Symposium, du 17 au 19 février, les intervenants ont illustré comment ces thèmes s’appliquent dans la pratique.

Des rencontres qui contribuent à la compréhension sont organisées par l’organisation ‘Tour2.0’ dans les townships sud-africains de Soweto et Alexandra. Daniel Adidwa l’explique très bien : “Chaque communauté a une histoire unique à raconter. Nous permettons au visiteur de découvrir leurs particularités.”

La création d’emplois a été soulignée par David Scowsill, chef de la direction du Conseil Mondial du Voyage et du Tourisme. Le tourisme “emploie plus de 12 millions de personnes en Europe, 63 millions en Asie et 8 millions en Afrique… .. La vitesse de sa croissance est supérieure de 1% au reste de l’économie mondiale chaque année.”

La réconciliation est promue par les ‘Peace Parks transfrontaliers‘ en Afrique australe, comme le décrit Paul Bewsher lors de la conférence. Bien que l’accent soit mis principalement sur la protection du patrimoine naturel, il y a aussi des exemples d’initiatives culturelles transfrontalières telles que ‘l’Ae Hai Kalahari Park’ un Patrimoine qui est géré en partie par des représentants des communautés ‡Khomani San et Mier qui étaient auparavant séparées par des frontières coloniales.

L’Institut international pour la paix par le tourisme et son Président, Lou d’Amore, ont initié la conférence, comme nous l’avons indiqué précédemment dans CPNN. L’Institut est maintenant en expansion, car il y avait une importante délégation, dont 14 jeunes, de la nouvelle IIPT Inde. Ils ont dit à CPNN que «Pour nous dans le passé, le tourisme était simplement de découvrir de nouveaux endroits, mais maintenant nous nous rendons compte que cela peut être une chance de connaître de nouvelles personnes et de promouvoir la paix.”

Une autre réunion de haut niveau a eu lieu au Cambodge deux semaines plus tôt avec des objectifs très semblables. La Conférence, dirigé par “l’Organisation mondiale du tourisme des Nations Unies” (OMT) et “l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture” (UNESCO) a abordé la question de savoir comment exploiter la puissance du tourisme et de la culture pour réduire la pauvreté, pour créer des emplois, protéger le patrimoine naturel et culturel et promouvoir la compréhension internationale.

      
DROITS DE L’HOMME

lgbt
Le Caribbean Union of Teachers défend les droits des personnes LGBT

FEMMES, EGALITE ET PAIX


Esther Abimiku Ibanga to receive the Niwano Peace Prize

DÉSARMEMENT & SÉCURITÉ


Le Centre de la paix organise une séance de soutien psychologique pour les enfants de Gaza

DEVELOPPEMENT DURABLE


Peace Through Tourism by Taleb Rifai, Secretary General of UNWTO

LIBERTÉ DE L’INFORMATION


Lancement du réseau jeunesse et culture de la paix en Afrique

PARTICIPATION DÉMOCRATIQUE


Rethinking Post-Election Peacebuilding in Africa

TOLERANCE ET SOLIDARITÉ


Abu Dhabi: Muslims Plan Peace Emissaries to End Conflicts

ÉDUCATION POUR LA PAIX


Almería, Spain: Over 100,000 students participate in the network of centers “The school as a space of peace”

La 2è édition du Festival Amani fixée en mi-février à Goma

. . EDUCATION POUR LA PAIX . .

An article by Radio Okapi

Video: Goma music festival

La deuxième édition du Festival de musique Amani est annoncée du 13 au 15 février à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu. Placée sous le thème : «Danser pour changer et chanter pour pour la paix », cette manifestation bénéficie de l’appui de plusieurs partenaires dont la Monusco et l’ONG Francopholies.

Goma

Une scene du video du première édition du festival

Ce festival entend consolider la culture de la paix et la réconciliation entre peuple d’une contrée en proie à des conflits armés depuis plus de deux décennies.

De nombreux artistes africains sont attendus dans ce festival dont l’Ivoirien Tiken Jah Fakoly et le chanteur malien Habib Koite.

La première édition du festival Amani, organisée en février 2014, avait drainé des milliers d’habitants de la région des Grands Lacs.

Les artistes-musiciens Tiken Jah Fakoly et Habib Koite parlent de ce festival au micro de Marcel Mayoyo.

( Cliquez ici pour une version anglaise)

 

Question related to this article:

What place does music have in the peace movement?

As of now, there are 33 CPNN articles on this theme, which reflects the extent to which music is the universal language of peace!

Le Caribbean Union of Teachers défend les droits des personnes LGBT

. DROITS DE L’HOMME .

an article by Internationale de l’Education

Les dirigeant(e)s syndicaux/ales ont franchi un pas important dans la voie d’une meilleure compréhension des questions LGBT sous l’angle des droits de la personne, alors que la région s’ouvre à la tolérance et à l’acceptation de la diversité sexuell

lgbt
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Lisa Shoman

Afin de mettre un terme à la discrimination des étudiant(e)s et des enseignant(e)s LGBT dans les écoles caribéennes, les syndicats d’enseignants ont pris de petites mesures pour faire accepter la diversité sexuelle.

Les droits de la personne étaient l’élément central de la discussion dirigée par l’une des principales personnalités politiques des Caraïbes et ancienne ministre des Affaires étrangères du Belize, Lisa Shoman, alors qu’elle animait un débat sur « Les droits des étudiant(e)s et des enseignant(e)s LGBT » lors de la 6e Conférence de l’éducation du Caribbean Union of Teachers (CUT) à Belize City, en Amérique centrale, en décembre.

Les syndicats d’enseignants prennent des mesures contre l’homophobie dans le secteur de l’éducation

Shoman, qui est également une avocate des droits humains, avait pour difficile mission d’aider les enseignant(e)s à dépasser ce qui a été un sujet de controverse dans toute l’histoire de la région, en grande partie sous l’influence de valeurs et de croyances religieuses et culturelles. Elle s’est efforcée de mettre en avant les droits humains pour les séparer de la question des croyances. Toutefois, dans de nombreux pays, le principal obstacle était la législation.

« La législation contient encore des lois dépassées », qui pénalisent les gens en raison de leurs préférences sexuelles, a déclaré Davanand Sinanan, Président de la Trinidad and Tobago Unified Teachers Association (TTUTA) et membre du Bureau exécutif de l’Internationale de l’Education (IE). « En fait, à Trinidad et Tobago, depuis plus de trois ans, nous n’avons pas été capables de mettre en place une politique nationale en matière de genre du fait de l’opposition des instances religieuses aux dispositions mentionnant les droits des personnes LGBT. »

Sinanan a clairement indiqué qu’il veut que ses écoles et la société changent de regard et reconnaissent que toute personne doit bénéficier de droits égaux afin d’éliminer les discriminations.

A l’issue de la discussion, un grand nombre de participant(e)s ont convenu qu’il était nécessaire de mener une vaste campagne d’éducation sur la question dans la région afin que les enseignant(e)s soient en mesure de faire face aux choix de vie de façon professionnelle et sans porter de jugement, en particulier en dispensant des services éducatifs respectueux des jeunes dans le plein respect de leurs droits et de la dignité de tous ainsi que de la diversité en matière d’orientation sexuelle et d’identité de genre.

A l’heure actuelle, 11 des 12 Etats du Commonwealth des Caraïbes considèrent l’homosexualité comme un crime en vertu de lois introduites par le colonialisme britannique. Nombre de ces lois seraient indirectement appliquées au travers de pratiques policières d’extorsion et d’autres abus punis par la loi, de la stigmatisation sociale et d’une discrimination directe. L’application du droit pénal se dresse comme un obstacle, qui revient à refuser l’accès et le droit à l’éducation, à l’emploi, au logement, à la santé et à d’autres services publics.

[Merci au Good News Agency pour avoir nous informer de cet article.]

(Cliquez ici pour une version en espagnol de cet article et ici pour une version en anglais.)

 

Question related to this article:

The struggle against homophobia, Is progress being made in your community?

It would seem from articles on CPNN that progress is being made in some communities. In particular this is true in the United States according to the article by Danny B and in Bulgaria according to the article by Diana Tashkova.

México: Ley de Justicia Alternativa debe estar aprobada antes de agosto

. PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA .

un artículo de Dulce Rodríguez Calderón, Entrelíneas

El magistrado presidente del Supremo Tribunal de Justicia del Estado, José Miguel Salcido Romero, confió en que la Ley de Justicia Alternativa esté lista para antes del 17 de agosto, fecha en la que comienza el nuevo sistema de justicia oral en material civil y familiar en Chihuahua.

Mexico

El magistrado presidente del Supremo Tribunal de Justicia del Estado, José Miguel Salcido Romero

“Ya enviamos la iniciativa al Congreso del Estado y esperemos que muy pronto se procese, eso nos tiene muy contentos porque vamos a poder consolidar nuestro sistema de justicia alternativa de manera muy sólida”, compartió en entrevista el titular del Poder Judicial.

Al ser cuestionado sobre si la nueva ley debe ser analizada, en caso dado modificada y aprobada por el Poder Legislativo antes del mes de agosto comentó que la cuestión del tiempo es un tema que le compete al Congreso del Estado, pero: “yo diría que sí, porque nos ayudaría mucho que este tema esté firme al momento en que entre en vigor el nuevo sistema oral de justicia civil y familiar”.

Cabe recordar que el objetivo principal de la misma es fomentar la convivencia armónica como herramienta principal para el dialogo, lo que llevará sin duda a la justicia pronta y expedita, pues las partes llegarán a un común acuerdo a través de la mediación con lo que se evitarían procesos judiciales.

Además es importante mencionar que de aprobarse, se abrogaría la Ley de Mediación, misma que data del 7 de junio del 2003 (que fue planeada para un Centro de Mediación que nunca inició operaciones) y hoy en día resulta insuficiente para las nuevas atribuciones que el Supremo Tribunal de Justicia tendrá con la implementación del Centro de Justicia Alternativa.

La nueva Ley Orgánica del Poder Judicial prevé la existencia del Centro de Justicia Alternativa que promoverá la solución de controversias y la cultura de paz para las personas físicas o morales en sus casos ya sea civil, laboral, penal y mercantil.

La Justicia Alternativa es un procedimiento para la solución de controversias mucho más amplia en lo que refiere a la conciliación y mediación, por lo que se propone se expida la Ley.

( Clickear aquí para la version inglês)

Pregunta(s) relacionada(s) al artículo

Restorative justice, What does it look like in practice?

Comentario más reciente:

On this theme, I encourage CPNN readers to read Restorative Justice for Children in Brazil.

La Caribbean Union of Teachers promueve los derechos LGBT

. . . . . DERECHOS HUMANOS . . . . .

Un articulo del Internacional de la Educación

Los/as dirigentes sindicales han dado un importante paso adelante en el camino para desarrollar una mejor comprensión de las cuestiones LGBT desde una perspectiva de derechos humanos, cambiando la tolerancia y aceptación de la diversidad sexual en la región.

lgbt
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Lisa Shoman

En un esfuerzo por poner fin a la discriminación de los/as estudiantes y docentes LGBT en las escuelas del Caribe, los sindicatos docentes dieron pequeños pasos con el fin de encontrar soluciones para fomentar la aceptación de la diversidad sexual.

Los derechos humanos fueron el eje del argumento dirigido por Lisa Shoman, una de las principales figuras políticas del Caribe y el exministra de Relaciones Exteriores de Belice, que facilitó un debate sobre ” los derechos de la comunidad de estudiantes y docentes LGBT ” en la sexta Conferencia de Educación de la Caribbean Union of Teachers’ (CUT) que tuvo lugar en la Ciudad de Belice, Centroamérica, el pasado mes de diciembre.

Shoman, que también es abogada en derechos humanos, se enfrentó al reto de ayudar a los/as docentes a superar lo que ha sido un tema polémico en la historia de la región, muy influida por las creencias y los valores religiosos y culturales, trabajando para resaltar los derechos humanos y separarlos de las creencias. Sin embargo, la ley ha sido en muchos países un obstáculo importante.

“Hay todavía leyes anticuadas en los estatutos” que sancionan a las personas por sus preferencias sexuales, señaló Davanand Sinanan, Presidente de la Trinidad and Tobago Unified Teachers Association (TTUTA) y miembro del Consejo Ejecutivo de la Internacional de la Educación (IE). “De hecho, en Trinidad y Tobago no hemos sido capaces de llevar a buen término una política de género en tres años debido a la oposición de los cuerpos religiosos a las cláusulas que se refieren a los derechos de las personas LGBT”.

Sinanan dejó claro que quiere que sus escuelas y la sociedad cambien de perspectiva y reconozcan la igualdad de derechos de todas las personas con el fin de acabar con la discriminación”.

Tras el debate, muchos/as coincidieron en que existe la necesidad de una amplia educación sobre el tema dentro de la región, con el fin de asegurar que los/as docentes sean capaces de enfrentarse a la variedad de estilos de vida de una manera profesional y sin juicio, especialmente los servicios educativos dirigidos a jóvenes que se entregan con el pleno respeto de derechos y dignidad para todos/as, en la diversidad de orientación sexual e identidad de género.

Actualmente, 11 de los 12 países el Caribe que pertenecen a la Commonwealth criminalizan la homosexualidad bajo leyes introducidas por el colonialismo británico. Muchas de estas leyes se aplican de manera indirecta en la extorsión policial y en otros abusos sancionados por el estado, estigma social y discriminación directa. La ejecución penal aparece como una barrera que niega el acceso y el derecho a la educación, empleo, vivienda, salud y otros servicios públicos.

[Gracias a la Good News Agency por informarnos al artículo.]

( Clickear aquí para la version inglês y aquí para la version francês )

Pregunta(s) relacionada(s) al artículo

The struggle against homophobia, Is progress being made in your community?

It would seem from articles on CPNN that progress is being made in some communities. In particular this is true in the United States according to the article by Danny B and in Bulgaria according to the article by Diana Tashkova.

Mexico: Alternative Justice Act should be approved before August

. DEMOCRATIC PARTICIPATION .

an article by Dulce Rodríguez Calderón, Entrelíneas

The Chief Justice of the State, José Miguel Salcido Romero, has indicated that the law for Alternative Justice will be ready before August 17, when the new system of oral justice for civil and family matters begins in Chihuahua.

Mexico
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The Chief Justice of the State, José Miguel Salcido Romero

“We have sent the initiative to the State Congress and hopefully it will soon be processed, that makes us very pleased because we will be able to consolidate our alternative justice system in a very solid manner,” he shared in an interview as the head of the judiciary.

When asked whether the new law must be analyzed, optionally modified and approved by the Legislature before August, he responded that these are matters to be decided by the State Congress, but: he added, “I would say yes, because it would help very much this issue to be firmly established by the time the new oral system of civil and family justice comes into force.”

We need to keep in mind that the main purpose of the law is to promote social harmony as the main tool for dialogue, which will undoubtedly aid justice to be prompt and expeditious, so that parties can come to agreement through mediation and avoid prosecution.

It is also important to mention that if approved, the Mediation Act, which dates from June 7, 2003 (which was planned for Mediation Center that never began operations) is insufficient for today’s needs for implementation of the Alternative Justice Center.

The new Organic Law of the Judiciary provides for the existence of the Centre for Alternative Justice to promote the settlement of disputes and the culture of peace for individuals or corporations in civil, labor, criminal and commercial cases.

As a procedure for resolving disputes, Alternative Justice is much wider when it comes to conciliation and mediation, which is the reason to propose the new Act.

(Click here for a Spanish version of this article)

Question related to this article:

Más de 100.000 escolares participan en la red ‘Escuela: Espacio de Paz’ en Almería, España

. . . EDUCACIÓN PARA LA PAZ . . .

un artículo de Teleprensa (abreviado)

Los 268 centros educativos de la provincia integrados en la Red ‘Escuela: Espacio de Paz’ celebran hoy el Día Escolar de la No Violencia y la Paz [30 de Enero] con un programa de actividades lúdicas y culturales de promoción de los valores democráticos de la igualdad, el respeto a la diversidad, el diálogo y la tolerancia. Más de 100.000 alumnos y 5.000 docentes participan en estas iniciativas de mejora de la convivencia entre la comunidad educativa.

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Niños del colegio público de La Chanca han tomado las calles del barrio en su peculiar manifestación por la Paz

l acto principal se ha celebrado en el Centro de Usos Múltiples de Berja, organizado por los siete centros educativos del municipio que participan en la Red ‘Escuela: Espacio de Paz’ con el proyecto colectivo ‘Berja: Puerta de la Paz de La Alpujarra’. Se trata de la Escuela Infantil Barajas, CEPR Andrés Manjón, CEIP San Tesifón, CEIP Celia Viñas, CDP Nuestra Señora de Gádor, IES Villavieja e IES Sierra de Gádor. Más de medio millar de alumnos han asistido a este acto en el que se ha leído el ‘Manifiesto 2000’, un documento formulado por un grupo de Premios Nobel de la Paz con motivo de la celebración del 50 aniversario de la Declaración Universal de los Derechos Humanos para difundir la cultura de la paz y no violencia. El texto recoge la idea de la responsabilidad individual para actuar en el marco de la familia, la localidad, la región y el país practicando y fomentando la no violencia, la tolerancia, el diálogo, la reconciliación, la justicia y la solidaridad día a día.

Los escolares han leído mensajes sobre el respeto a la vida, el rechazo de la violencia, la generosidad, la comprensión, la conservación del medio ambiente y de los recursos naturales, la solidaridad y la igualdad. Además, los centros educativos han organizado, con la colaboración del Patronato Municipal de Deportes, una carrera solidaria a beneficio de la ONG Save the Children. El CEIP Palomares, de Cuevas del Almanzora, también se ha apuntado a la carrera de esta organización no gubernamental para recaudar fondos destinados a la población de El Sahel. Previamente, los alumnos han trabajado en sus aulas la información sobre la crisis alimentaria y las condiciones de vida en esta región africana. . .

En Vícar, el CEIP Federico García Lorca ha organizado varios circuitos de juegos cooperativos sobre los valores de la paz con la participación de la familias y con los alumnos de Secundaria como monitores.

El Día Escolar de la No Violencia y la Paz se celebra el 30 de enero desde 1964, cuando surgió como una iniciativa del profesor español Llorenç Vidal para la difusión de la educación en y para la tolerancia, la solidaridad, la concordia y el respeto a los derechos humanos. En 1993 recibió el respaldo de la UNESCO que convirtió esta celebración en Día Mundial. La efeméride coincide con la fecha de la muerte de Mahatma Gandhi, asesinado en 1948.

La delegada de Educación, Cultura y Deporte de la Junta, Isabel Arévalo, ha destacado que ‘la cultura de la paz no es sólo un contenido transversal sino que es una de las finalidades últimas del sistema público educativo en Andalucía que se concreta en el Plan Andaluz de Educación para la Cultura de Paz’, que supuso la creación de la Red ‘Escuela: Espacio de Paz’ en el curso 2002-2003.

( Clickear aquí para la version inglês)

Latest Discussion

What is the best way to teach peace to children?

Maria Montessori believed that peace was innate within children. Her timeless educational philosophy was developed around this basic understanding. Perhaps all we need to do as teachers is to provide stimulating learning environments that validate this knowing and understanding and nurture it. We may not have to actually teach it, Sharing peace-building stories gently attends to this. Strong, creative and imaginative peace-building characters who focus upon win-win and have faith in peace being possible are at the centre of the story plots. In Hassaun Ali-Jones Bey’s (Boundless Gratitude http://boundlessgratitude.com/products.html ) unique and mesmerising story, Black Ink is such a character who bravely crosses the universe seeking validation of what he knows in his heart. The magical character also models all the important peace-building values, understandings and actions needed for peace-building. I believe also that peace-building must be modelled and the whole teaching-learning environment should reflect similar values, understandings and actions…as is the primary focus of the Save the Children Australia UN Global Peace School Program upon which I am presently fortunate to be working. As Gandhi stated: ‘If we want peace in the world then we need to begin with the children.’ We need to listen to them. I also believe there are many ways to attend to peace-building..there’s not just one way…and fun and creativity should be elements of any peace-learning programme with children working together. Parents are also teachers and they can choose to share peace-building stories with children as well.

Lancement du réseau jeunesse et culture de la paix en Afrique

LIBERTE DE L’INFORMATION

un article par l’UNESCO Département Afrique (abrégé)

Video: Youth and Culture of Peace in Africa

« On dit parfois que la jeunesse, c’est l’avenir – mais pour moi, la jeunesse, c’est le présent » a déclaré la Directrice générale le 13 décembre à Libreville, entourée de 90 jeunes africains et africaines en provenance d’une quarantaine de pays rassemblés à Libreville pour le Forum Panafricain « La jeunesse africaine et le défi de la promotion d’une culture de la paix ».

libreville
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Jeunes participants au Forum

Le forum s’est tenu du 11 au 13 décembre au Gabon, en présence de Madame Pascaline Mferri Bongo Ondimba, Présidente d’honneur de la Fondation Omar Bongo Ondimba, Madame Ida Reteno Assonouet, Ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement Technique et Professionnel, Présidente de la Commission Nationale Gabonaise pour l’UNESCO, Monsieur Anatole Collinet Makosso, Ministre congolais de la Jeunesse et de l’Instruction Civique et président en exercice de la du Comité technique spécialisé de la jeunesse, de la culture et des sports de l’Union Africaine, Madame Rosa Christiane Ossouka Raponda , Maire de Libreville, ainsi que Monsieur Forest Whitaker, Envoyé Spécial de l’UNESCO pour la paix et la réconciliation.

L’événement a été marqué par le lancement officiel du Réseau « Jeunesse et culture de la paix » constitué par les Conseils de la jeunesse et des organisations de la jeunesse d’Afrique et de la diaspora, engagés dans des actions de promotion d’une culture de la paix, dont le Gabon accueillera le Secrétariat.

Le Forum a également mis à l’honneur le renforcement du partenariat avec la Fondation « Whitaker Peace and Development Innitiative (WPDI), visant à promouvoir la capacité des jeunes à œuvrer à la paix et au développement dans leurs communautés au sein des pays en situation vulnérable. Forest Whitaker a pour sa part déclaré à l’intention des jeunes participants, « votre génération est celle qui fera croître les graines » de la paix et de la prospérité, « la seule limite que vous rencontrerez, c’est votre imagination.

La Fondation Omar Bongo Ondimba pour la paix, la science, la culture et l’environnement, a par ailleurs annoncé la création d’un prix international de la jeunesse pour la culture de la paix qui récompensera l’action de trois organisations de la jeunesse, qui se répartiront un montant de 45 millions CFA soit près de 85 000 USD.

Dans son allocution d’ouverture, Madame Bokova . . . a salué le travail des jeunes entamé trois mois auparavant sur une plateforme en ligne créée par l’UNESCO avec l’appui de la Fondation Omar Bongo Ondimba et de la Commission nationale gabonaise pour l’UNESCO. Très vite, les jeunes se sont appropriés cet outil pour débattre des activités conjointes de leur réseau ainsi que de son organisation. Ce travail préparatoire a mobilisé plus de 200 organisations de jeunesse d’Afrique et de la diaspora. Le rendez-vous de Libreville a permis de prolonger les discussions en ligne par une série de travaux participatifs et prospectifs qui leur ont permis d’envisager leurs stratégies à long terme. A travers ces innovations dans les méthodes de travail, les jeunes ont pu élaborer un plan d’action et un format de réseau qu’ils finaliseront au cours des mois à venir via la plateforme en ligne. A la fin du Forum, un bureau du Réseau a été mis en place avec deux délégués représentant chacune des 6 régions région d’Afrique, y compris la Diaspora.

Les jeunes du Réseau ont conclu la cérémonie en entonnant la chanson qui a rythmé tout leur Forum : « La guerre ne paie pas ; la paix veut nos bras ».

>Pour plus d’information, voir le dernier paragraph de l’article.

( Cliquez ici pour une version anglaise.)

 

Question related to this article.

Will UNESCO once again play a role in the culture of peace?

Most recent comment:

It is very appropriate that this new impulse for the culture of peace at UNESCO should come from Côte d’Ivoire, since the global movement for a culture of peace was initiated at a UNESCO conference in that country in 1989. See Yamoussoukro and Seville in the early history of the culture of peace.

Note added on September 2:

The official reports from the UNESCO Conference in Abidjian are now available:

English

French

República Dominicana: Procuraduría y Fundación coordinan para cultura de paz

. PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA .

un artículo de El Periodico

Con la finalidad de sumar esfuerzos para fortalecer el sistema de mediación de conflictos y fomentar la cultura del diálogo en el país, la Procuraduría General y la Fundación Justicia y Transparencia (FJT) implementarán una serie de acciones para la prevención y resolución alternativa de conflictos en el ámbito familiar, escolar, laboral y comunitario.

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Así lo establece un acuerdo de cooperación conjunta que fue firmado por el procurador general de la República, Francisco Domínguez Brito; el presidente de la FJT, Trajano Vidal Potentini Adames, y como testigo, el director general del Sistema Nacional de Resolución de Conflictos del Ministerio Público ((SINAREC), Ángel Gomera.

El procurador general Domínguez Brito agradeció el apoyo y la voluntad manifestada por la Fundación Justicia y Transparencia de fortalecer y difundir todo lo que es el concepto de la conciliación y la resolución de conflictos, lo cual señaló es una alternativa al sistema de Justicia en casos que pueden corregirse mediante el entendimiento y el respeto a la dignidad de cada una de las partes.

“Con este paso se contribuye enormemente al fortalecimiento de la justicia de conciliación en la República Dominicana”, manifestó el máximo representante del Ministerio Público.

De su lado, Trajano Vidal Potentini resaltó el empeño de las autoridades de la Procuraduría General de cuidar lo que definió como una nueva cultura que instauró el Código Procesal Penal para el tema de la conciliación, lo cual calificó de fundamental para el desarrollo y la armonía del sistema judicial.

“Para nosotros formar parte de estos esfuerzos de instaurar la cultura de paz, más aún, de llevar a nivel comunitario y a los barrios las buenas nuevas que se están desarrollando en el sentido de la resolución alternativa de conflictos, resulta de gran satisfacción”, expresó el presidente de la FJT.

Como parte del compromiso asumido se acordó fortalecer y difundir los modelos comunitarios que se adecúen a las necesidades, condiciones y criterios de los eventuales o futuros centros de mediación, negociación y conciliación en el orden familiar, escolar, laboral y comunitario.

Igualmente se impulsará la elaboración y presentación de un anteproyecto de ley que sustente la aplicación y desarrollo de los métodos alternos de resolución de conflictos como política pública de aplicación en el territorio nacional.

El Ministerio Público garantizará la presencia de miembros de esta institución capacitados en la aplicación de los métodos alternos de resolución de conflictos en los programas que la fundación desarrolle.

Un año de duración tendrá de vigencia el convenio, que fue firmado en la sede del Ministerio Público, en el Centro de los Héroes.

( Clickear aquí para la version inglês)

Pregunta(s) relacionada(s) al artículo

Restorative justice, What does it look like in practice?

Comentario más reciente:

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