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Paris: Un orchestre debout !!!

. . EDUCATION POUR LA PAIX . .

Pour CPNN par Kiki Chauvin

Dans l’esprit du mouvement “Nuit debout” qui continue d’exister par les coordinations et non par un pouvoir directif, la créativité se conjugue dans le partage et non dans l’individualisme.

orchestre
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Ainsi, l’appel lancé sur les réseaux sociaux a permis de rassembler pas moins de 350 musiciens de tous horizons et de tous niveaux, de l’amateur au professeur de conservatoire.
Mercredi 20 avril, cet orchestre a interprété , sur la place de la République, devant une audience de plusieurs milliers de personnes (y ajouter les 16000 spectateurs de la transmission en direct sur Internet) trois mouvements de la Symphonie du Nouveau Monde d’Anton Dvorak pour un concert symbolique.

Composé entre autres de 40 trompettes, d’autant de flûtes traversières, d’une quinzaine d’hautbois, de 60 violons, cette hétéroclite harmonie auto-organisée a joué d’instruments inhabituels comme le saxophone, la mandoline et plus inattendu encore le ukulélé, qui ont dû innover en écrivant leurs propres partitions  !!! Les musiciens qui ne se connaissaient pas ont eu 2 h pour s’accorder. La difficulté est venue du choix de la direction de l’orchestre : comment mener un tel groupe en restant dans l’esprit du mouvement, c’est à dire pas de chef.. même d’orchestre ! Après discussions, consentements et votes, la coordination résolue se fera à trois têtes, trois baguettes différentes, une pour chaque mouvement de la symphonie interprétée. L’un des trois meneurs est d’ailleurs une femme violoniste qui a dirigé pour la première fois !

Après le succès de cette soirée, l’orchestre a proposé un autre concert. La date retenue est le samedi 30 avril. Entre “Le chœur des esclaves de Nabucco” de Verdi et La 9ème Symphonie de Beethoven, les votes décideront…

A l’image de cet esprit militant, sont apparus différents lieux d’informations citoyennes, comme ce stand de consultations juridiques gratuites “Avocats debout” dressé sur le place à 18h chaque soir. Une infirmerie, une cantine distributive, une “TV debout”, une “Radio debout” et une “Biblio debout” sont installés puis démontés chaque nuit.

Le 30 avril y aura t-il la naissance d’un “chœur debout” ?

Un cœur qui bat pour un monde différent, un monde de justice sociale, de partage, de reconnaissance des valeurs humaines excluant le “dieu argent”, un monde de solidarité dans une Culture universelle de Paix.

( Cliquez ici pour une version anglaise)

 

Question related to this article:

Nuit Debout à Paris

. . DEVELOPPEMENT DURABLE . .

Pour CPNN par Kiki Chauvin

« Ils éteignent la lumière, allumons nos cerveaux ! »

Le mouvement citoyen “Nuit debout” est né le 31 mars dernier à la suite de la manifestation contre le projet de loi du travail El Khomri, réforme contestée du code du travail et de la diffusion du film de François Ruffin ‘’ merci patron’’.

nuit
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Photograph: Ian Langsdon/EPA

Ce rassemblement quasi spontané est animé par des hommes et des femmes qui se sont rapidement organisés en assemblées générales ponctuelles ’’ faites avec les moyens du bord’’ et les compétences de chacun.

La Place de la République est devenue un espace de liberté, où chacun, chacune, peut prendre la parole et participer aux débats, ainsi qu’aux travaux de commissions organisationnelles ou thématiques comme la logistique (chargée du bon déroulement), la communication, la coordination, l’accueil et la médiation (accueil et sérénité) . La commission démocratie, centre de grands débats, est responsable du système de vote. Des sujets comme la loi travail, le chômage, la précarité, l’égalité homme femme, le scandale des ‘’Panama papers’’, les lanceurs d’alerte sont débattus.

Ce mouvement qui prend de l’ampleur, est étonnamment jeune, même s’il brasse un peu tous les âges.
Son mode opératoire s’appuie sur des valeurs humanistes, pacifiques. C’est l’échange d’idées et le partage des colères dans le respect de l’autre, l’écoute, la prise de parole auto disciplinée. La parole se prend dans le calme et tous les débats sont traduits dans la langue des signes.

(Cliquez ici pour une version en anglais.)

Question pour cet article:

Movements against governmental fiscal austerity, are they part of the global movement for a culture of peace?

Même si ce mouvement n’a rien à voir avec nos manifestations habituelles, ses membres sont bien décidés à montrer leur insoumission par la désobéissance civile hors des partis politiques et des organismes officiels.

Il s’agit de reprendre la parole confisquée par une classe politique devenue ‘’professionnelle’’ en occupant l’espace public, de repenser pour construire un autre monde, car comme l’a dit le Forum social Mondial de Porto Alegre ( mettre liens…..) ‘’un autre monde est possible’’ !

Cette forme de mouvement est une première en France, à l’instar de ce qui s’est passé en 2011 avec le printemps arabe puis aux USA avec Occupy, ou avec les Indignés en Espagne.

La mobilisation se développe un peu partout , dans une soixantaine de villes françaises, mais également dans d’autres pays comme la Belgique, l’Allemagne, les Pays Bas, l’Espagne, Le Canada,….

L’apparition de groupes de casseurs, en parallèle et à la périphérie de la Place de la République semble vouloir jeter le discrédit et trouble quelque peu la sérénité du mouvement qui, à l’inverse, se comporte sans violence.

Malgré le souffle novateur, frais et optimiste qui teinte ce mouvement d’espoir, on peut se questionner sur la suite qui y sera donnée. En effet, même si l’esprit est clairement progressiste, n’y a t-il pas un risque d’enfermement horizontal qui irait vers une ‘’consanguinité’’ s’il ne s’ouvre pas plus à d’autres couches sociales ( ouvriers, monde rural, banlieues..) en se déplaçant vers d’autres ‘’places publics’’, en allant vers les gens  ?

Quoiqu’il en soit, le message est porteur et comme le definit le sociologue Albert Ogien : »C’est une forme moderne d’action politique désormais utilisée comme la grève, le sit-in…/… ce qui est tout à fait nouveau en France ../.. »

Desarme! – Congreso Internacional sobre los Gastos Militares y Sociales – International Peace Bureau

. . DESARME Y SEGURIDAD . .

El anuncio por parte de International Peace Bureau

El Congreso Internacional de International Peace Bureau tendrá lugar 30 Sept – 03 Oct 2016, 
Technische Universität Berlin, Alemania

ipb

OBJETIVOS DEL CONGRESO

El objetivo principal del Congreso es exponer a un abierto debate público el tema de los gastos militares generalmente considerado como una cuestión meramente económica, así como fortalecer y promover el activismo en la comunidad internacional. El enorme y complejo desafío global del hambre, el trabajo y el cambio climático exige pasos concretos y reales – los que requieren ser formulados claramente y explicitados de acuerdo a la realidad política de cada país . . .

OTROS ASPECTOS :

El Congreso presentará:

Actividades culturales de todo el mundo – incluyendo actuaciones de artistas e instituciones provenientes de Berlin.

Posibilidades para las Organizaciones No gubernamentales y otros participantes de realizar encuentros y talleres durante el Congreso.

Posibilidades de participar en un “ Mercado de Muestras “

Asistencia a la Asamblea Trianual del INTERNATIONAL PEACE BUREAU – IPB que se desarrollará durante el Congreso , siendo el encuentro más importante de sus miembros y partners el día 3 de octubre . . .

El Congreso de Berlin opera como un importante promotor de la Campaña Internacional sobre Gastos Militares – Global Campaign on Military Spending, (GCOMS). En el mes de diciembre de 2014 el IPB anunció el inicio de una campaña anual, global y permanente para reducer el excesivo gasto militar en todo el mundo En el año 2014 los gobiernos del mundo gastaron más de 170 billones de dólares en el sector militar. . .

(El artículo continúa en el lado derecho de la página)

( Clickear aquí para la version inglês )

Question for this article:

Does military spending lead to economic decline and collapse?

(El artículo continúa desde la parte izquierda de la página)

OBJETIVO GENERAL DE LA CAMPAÑA:

Lograr la re-localización del gasto militar – especialmente en los países con alto presupuesto – y transferirlo a 5 áreas principales como parte de un gran programa de transformación global hacia la construcción de una Cultura de Paz.

Areas de transferencia propuestas:

Cambio climático : reducción y adaptación , preservación de la biodiversidad;
Paz: desarme, prevención y resolución de conflicto, seguridad humana;

Desarrollo sustentable: nuevos modelos de producción y consumo, programas para paliar la pobreza , Objetivos del Milenio para el Desarrollo de la UN;

Servicios Públicos / Justicia Social: derechos humanos, equidad de género, promoción de investigación y acciones con una perspectiva ecológica

Programas Humanitarios con el objetivo de ayudar y proteger a los sectores más vulnerables de la sociedad . . .

CONFERENCIANTES

Los conferenciantes deberán representar las voces más significativas de las organizaciones sociales ; de pensadores creativos y personajes de relevancia cultural: Premios Nobel y Premios Nobel Alternativos ; hombres y mujeres de Estado ; importantes figuras de las ciencias sociales, de la economía y de la política en particular; sectores representativos de los movimientos de paz y de la sociedad civil ; parlamentarios; líderes religiosos; periodistas ; líderes comunitarios y artistas.

(Gracias a Alicia Cabezudo para enviar este anuncio a CPNN.)

Classement mondial de la liberté de la presse 2016 : la paranoïa des dirigeants contre les journalistes

LIBERTÉ DE L’INFORMATION

Un article de Reporters sans frontières

Reporters sans frontières (RSF) dévoile l’édition 2016 du Classement mondial de la liberté de la presse. L’évolution générale témoigne d’un climat de peur généralisée et de tensions qui s’ajoute à une emprise des Etats et des intérêts privés de plus en plus grande sur les rédactions.

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Ce palmarès – qui fait référence dans l’ensemble du monde – révèle les positions relatives de 180 pays au regard de la latitude d’action de leurs journalistes. Au vu des indices régionaux, il apparaît que l’Europe (19,8 points d’indice) demeure la zone où les médias sont les plus libres, suivie (de loin) par l’Afrique (36,9), qui, fait inédit, passe devant les Amériques (37,1), l’Amérique latine étant plombée par les violences accrues contre les journalistes. Suivent l’Asie (43,8) et l’Europe de l’Est et Asie Centrale (48,4). L’Afrique du Nord/Moyen Orient (50,8) reste la région du monde où les journalistes sont les plus soumis à des contraintes de toutes sortes. A noter que plus l’indice monte, pire est la situation.

Trois pays d’Europe du nord occupent le haut du Classement des pays, la Finlande (1ère, comme depuis 2010), les Pays-Bas (2ème, +2), la Norvège (3ème, – 1). Au chapitre des évolutions notables, l’amélioration de la situation en Tunisie (96ème, + 30), grâce à une baisse des agressions et des procédures, et en Ukraine (107, + 22), due à une accalmie du conflit et à des réformes encourageantes.

(Voir suite sur colonne de droite. . . )

(Cliquez ici pour la version anglaise de cet article ou ici pour la version espagnole.)

Question(s) related to this article:

Free flow of information, How is it important for a culture of peace?

(. . . suite)

En sens inverse, on observe la dégringolade de la Pologne (47ème, – 29), sous l’effet de la remise au pas des médias lancée par le parti ultra conservateur. Beaucoup plus bas, le Tadjikistan, qui subit la dérive autoritaire du régime, dévisse (150ème, – 34). Même dégradation spectaculaire du Sultanat de Brunei (155ème, -34), imputable à l’instauration progressive de la charia et de l’épée de Damoclès d’éventuelles accusations pour blasphème. Enfin, le Burundi s’enfonce (156ème, -11), car ce pays a été le théâtre de violences envers les journalistes après la candidature contestée puis la réélection du président Pierre Nkurunziza. Au bas du Classement, un trio infernal, le Turkménistan (178ème), la Corée du Nord (179ème), l’Erythrée (180ème).

“Il est malheureusement notable que de très nombreux dirigeants dans le monde développent une forme de paranoïa contre l’exercice légitime du journalisme,” déclare Christophe Deloire, secrétaire général de RSF. “Le climat général de peur entraîne une haine croissante du débat et du pluralisme, un verrouillage des médias par des gouvernements en pleine dérive autoritaire et liberticide, l’emprise grandissante d’intérêts particuliers sur l’information dans le secteur privé. Il est essentiel de défendre le journalisme digne de ce nom face au renforcement de la propagande et de l’information sous la dictée ou sponsorisée par l’intérêt. La garantie du droit des citoyens à une information indépendante et fiable est une solution pour résoudre les problèmes locaux et globaux de l’humanité.”

Publié chaque année depuis 2002 à l’initiative de RSF, le Classement mondial de la liberté de la presse est un outil de plaidoyer essentiel fondé sur le principe de l’émulation entre Etats. Sa notoriété lui confère une influence croissante auprès des médias, des autorités publiques nationales et des organisations internationales.

Le Classement repose sur une mesure de la situation de la liberté de la presse, fondée sur une appréciation du pluralisme, de l’indépendance des médias, de la qualité du cadre légal et de la sécurité des journalistes dans 180 pays. Il est établi grâce à un questionnaire proposé en vingt langues à des experts du monde entier. A cette analyse qualitative s’ajoute un relevé quantitatif des violences commises contre les journalistes sur la période prise en compte.

Le Classement n’est pas un indicateur de la qualité de la production journalistique ni un palmarès des politiques publiques, même si les gouvernements ont une responsabilité importante.

Clasificación Mundial de la Libertad de Prensa 2016: la paranoia de los dirigentes frente a los periodistas

.. LIBERTAD DE INFORMACIÓN .

Un artículo de Reporteros sin Fronteras

Reporteros sin Fronteras (RSF) publica la edición 2016 de la Clasificación Mundial de la Libertad de Prensa. El desempeño global muestra un clima de miedo generalizado y de tensiones, que se suma a una creciente influencia de los Estados y de los intereses privados en las redacciones.

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La edición 2016 de la Clasificación Mundial de la Libertad de Prensa muestra la intensidad de las acometidas de los Estados, de ciertas ideologías y de intereses privados contra la libertad y la independencia del periodismo.

Esta lista –que constituye una referencia en todo el mundo– muestra las posiciones que ocupan 180 países de acuerdo al margen de acción de sus periodistas. Al observar los índices regionales, encontramos que Europa (índice de 19,8 puntos) sigue siendo la zona en la que los medios de comunicación cuentan con mayor libertad, seguida –a gran distancia– por África (36,9) que, hecho inédito, pasa delante de América (37,1), debido a que América Latina se encuentra sumergida una creciente violencia contra los periodistas. Siguen las zonas de Asia (43,8), Europa del Este y Asia Central (48,4). Al final se encuentra África del Norte/Oriente Medio (50,8), que sigue siendo la región del mundo donde los periodistas enfrentan más vicisitudes y de todo tipo.

Tres países de Europa del Norte se encuentran a la cabeza de la Clasificación: Finlandia (1er. lugar desde 2010), los Países Bajos (2o, +2 lugares) y Noruega (3o, 1). En lo que respecta a las evoluciones más notables, encontramos el caso de Túnez (96o, +30), cuya situación mejoró porque disminuyeron las agresiones y los procesos legales contra periodistas, así como el de Ucrania (107o, +22), que ascendió en la Clasificación gracias a una relativa calma en el conflicto.

(El artículo continúa en el lado derecho de la página)

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Question(s) related to this article:

Free flow of information, How is it important for a culture of peace?

(Artículo continúa desde la parte izquierda de la página)

En el caso opuesto encontramos a Polonia (47o, 29), que sufrió una fuerte caída debido a que el partido ultraconservador retomó el control de los medios de comunicación. Mucho más abajo se encuentra Tayikistán, que sufrió una gran caída a causa de los excesos autoritarios del régimen (150o, 34). El Sultanato de Brunei también sufrió un retroceso espectacular (155o, 34), imputable a la instauración de la sharia y a las acusaciones de blasfemia, que provocan una fuerte autocensura. Burundi se hundió (156o, 11) debido a que fue escenario de actos de violencia contra periodistas tras la cuestionada candidatura y, más tarde, reelección, del presidente Pierre Nkurunziza. En la parte más baja de la Clasificación se encuentra el trío infernal, conformado por Turkmenistán (178o), Corea del Norte (179o) y Eritrea (180o).

“Desafortunadamente, es un hecho notable que numerosos dirigentes en el mundo han desarrollado una especie de paranoia frente al ejercicio legítimo del periodismo” señaló Christophe Deloire, Secretario General de RSF. “El clima general de miedo acarrea un odio creciente al debate y al pluralismo, un bloqueo de los medios de comunicación por parte de gobiernos en plenos excesos autoritarios y liberticidas, así como una influencia creciente de los intereses particulares en la información, en el sector privado. Es esencial defender el periodismo digno de ese nombre frente al incremento de la propaganda y de la información dictada o patrocinada por intereses particulares. Garantizar el derecho de los ciudadanos a una información independiente y confiable es una de las soluciones a los problemas locales y globales que enfrentamos” añadió

La Clasificación Mundial de la Libertad de Prensa, publicada cada año por RSF desde 2002, es una herramienta de promoción esencial, basada en el principio de emulación entre Estados. Su prestigio le ha permitido adquirir una influencia cada vez mayor ante los medios de comunicación, las autoridades públicas de los Estados y las organizaciones internacionales.

La Clasificación se sustenta en una evaluación de la situación de la libertad de prensa, basada en una valoración del pluralismo, de la independencia de los medios de comunicación, de la calidad del marco legal y de la seguridad de los periodistas en 180 países. Ésta se elabora a través de un cuestionario traducido en veinte lenguas enviado a expertos del todo el mundo. A este análisis cualitativo se suma un registro cuantitativo de los actos de violencia cometidos contra periodistas en el periodo tomado en cuenta.

La Clasificación no es un indicador de la calidad de la producción periodística ni un palmarés de las políticas públicas, incluso si los gobiernos tienen una gran responsabilidad en la situación.

España: El II Congreso Iberoamericano sitúa a Vila-real como capital internacional de la mediación policial

. . EDUCACIÓN PARA LA PAZ . .

Un articulo de Castellón Diario

La ciudad de Vila-real vuelve a convertirse estos días en la “capital mundial de la mediación policial”, en la segunda edición del Congreso Iberoamericano de Mediación Policial que se celebra hasta el viernes en el Auditorio Municipal Músic Rafael Beltrán Moner con más de 400 congresistas y 40 ponentes. El alcalde de la ciudad, José Benlloch, el presidente de la Generalitat, Ximo Puig, el rector de la Universitat Jaume I, Vicent Climent, y el intendente general jefe de la Policía Local, José Ramón Nieto, han inaugurado esta mañana el congreso, organizado por el Ayuntamiento de Vila-real con la colaboración de la UJI, que persigue “profundizar en los valores del diálogo y el acuerdo” como instrumentos efectivos y eficaces para la resolución de conflictos y la “construcción de paz”.

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El alcalde, el presidente de la Generalitat y el rector de la UJI inauguran un certamen que reúne hasta el viernes a más de 400 congresistas y 40 ponentes

Benlloch ha querido destacar sobre todo el papel de la Policía Local de Vila-real, a través de la Unidad de Mediación Policial y la Cátedra de Mediación Policial de la UJI, para consolidar “una metodología todavía incipiente pero que ya ha demostrado toda su potencialidad”. “Aquella unidad policial que nacía de manera pionera en 2004, dando respuestas nuevas a realidades diferentes, hoy marca el camino a seguir para cuerpos policiales de todo el mundo”, señala el alcalde. Para seguir consolidando esta disciplina, desde el punto de vista teórico y práctico, Benlloch aboga por una reforma de la ley autonómica de Policía Local que “permita dotar de mayores medios a nuestros cuerpos de seguridad municipales, los más próximos a los problemas de la gente, incorporando la cultura mediadora como parte intrínseca del trabajo de los agentes”; una reforma en la que, puntualiza, la Generalitat Valenciana ya viene trabajando en los últimos meses.

(El artículo continúa en el lado derecho de la página.)

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Question for this article:

Mediation as a tool for nonviolence and a culture of peace

(Artículo continúa de la parte izquierda de la página)

El propio presidente del Consell ha destacado en su discurso el apoyo de la Administración autonómica a la práctica mediadora como un ejemplo de “innovación social” que aborda la resolución de conflictos como “gestión de la diversidad garantizando condiciones de igualdad entre las partes”. “La mediación policial supone, además, ampliar el valor de la policía desde el ámbito municipal, que es el del valor añadido de la proximidad”, afirma Puig, para quien el II Congreso Iberoamericano de Mediación Policial “es una demostración del papel del poder local para participar en debates globales y en particular del Ayuntamiento de Vila-real por abrir un debate fundamental como es el de la mediación policial como prevención y capacitación de las fuerzas de seguridad a favor del diálogo y del acuerdo”.

En la misma línea, el rector de la Universitat Jaume I ha incidido en la importancia de encuentros como el congreso iberoamericano para consolidar una disciplina “todavía incipiente” y “avanzar en valores como el respeto, la libertad y la justicia, que son los valores de la convivencia pacífica”. Climent ha puesto el congreso y el trabajo realizado por la Cátedra de Mediación Policial Ciutat de Vila-real, “referente en el ámbito internacional, como ejemplo de “la colaboración interinstitucional, mediante la transferencia de conocimientos innovadores” que la UJI ha venido implementando desde su nacimiento, hace ahora 25 años.

Tras los parlamentos inaugurales, el alcalde de Vila-real ha impartido la primera conferencia del congreso, que en su primera jornada cuenta con ponentes como Pedro Blasco, en representación de la ONG Mensajeros por la Paz, el comisionado inspector general de la Policía Nacional de Panamá, general Willington Zambrano, o el activista de derechos humanos Mamdou Dia. La jornada de mañana, que contará con la entrega del premio Josep Redorta, profundizará en la implementación de la mediación en cuerpos policiales de Iberoamérica, mientras que el viernes el premio Nobel alternativo y fundador de les Estudios de la Paz, Johan Galtung, centrará las ponencias de la sesión de clausura.

Bulletin français 1 avril 2016

. . VILLES CULTURE DE PAIX . .

Il apparaît que la culture de la paix progresse de plus en plus à travers les villes selon les articles que nous avons publiés dans CPNN depuis janvier.

Au plus haut niveau, les maires de Madrid, Manuela Carmena, et de Paris, Anne Hidalgo, vont organiser un forum international contre la violence et pour l’éducation à la paix. Avec Bruxelles, ce sont leurs villes qui ont souffert le plus des attaques terroristes en Europe. Face aux États-nations qui ne donnent que des réponses militaires, ces municipalités proposent l’éducation pour la non-violence.

Alors que les États-nations continuent à fabriquer des armes nucléaires, le réseau, Maires pour la Paix, avec plus de 6.900 villes dans 161 pays, continue à donner la priorité à la lutte pour le désarmement nucléaire. Nous avons récemment publié un article d’une de leurs villes membres, Wellington, Nouvelle-Zélande.

D’autre part, le réseau,Villes internationales de paix, avec 130 villes membres dans 40 pays, a récemment annoncé une alliance avec le réseau nouvellement formé de Villes de Compassion comprennant 70 villes dans près de 50 pays qui ont affirmé la Charte pour la Compassion, promouvant la culture de la paix au niveau local.

Aux États-Unis est né un mouvement croissant de villes qui entreprennent la transformation vers une culture de la paix.

A New Haven, au Connecticut, pour la quatrième année la Commission pour la paix, un organe du gouvernement de la ville, a publié un rapport sur l’état de la culture de la paix. Le rapport identifie les priorités pour l’action de la ville. Deux de leurs priorités ont été présentées dans les articles récents de CPNN: la justice réparatrice dans les écoles, et l’accueil des réfugiés.

La ville de Ashland, en Oregon, a récemment établi une Commission Culture de la Paix dont l’un de leurs travaux est la rédaction d’un rapport annuel sur l’état de la culture de la paix dans leur ville. D’autres tâches incluent la formation des ambassadeurs de la paix, l’éducation à la paix dans les écoles, un répertoire des ressources communautaires qui favorisent une culture de la paix, et un monument contenant la Flamme de la paix mondiale.

Des organisations de la société civile à Wilmington, au Delaware, développent une “vision stratégique, un plan et un document des ressources qui apportera la paix à Wilmington. Le plan traitera des actions nécessaires pour transformer une culture de violence en une culture de la paix. Le plan comprendra l’apport des groupes civiques, la ville, l’État, les églises, les étudiants, les personnes âgées, et le grand public “.

Une nouvelle initiative a pour but de créer un réseau des “villes non-violentes,” sur le modèle d’une initiative à Carbondale, en Illinois. Ses objectifs sont similaires à ceux de New Haven, Ashland et Wilmington: “Villes non-violentes travaillera à mettre fin au racisme, à la pauvreté, au vagabondage, à la violence sous toutes ses formes et à tous les niveaux, à démanteler la ségrégation du logement et à poursuivre l’intégration raciale, sociale et économique.

Il s’agit aussi de “mettre fin aux violences policières en institutionnalisant la nonviolence au sein de la police, d’organiser en enseignement qui stoppe la violence domestique et developpe la nonviolence envers tous les enfants, de travailler pour mettre fin à la violence des bandes et enseigner la nonviolence à leurs membres.”

Toujours dans cette initiative, elle veut “enseigner la nonviolence dans toutes les écoles; poursuivre la nonviolence dans les programmes et les politiques d’immigration; amener les dirigeants et les communautés religieuses à promouvoir la nonviolence et la vision d’une ville nouvelle, nonviolente; réformer les prisons afin qu’elles soient moins violentes en éduquant les gardiens et les prisonniers dans la nonviolence.”

Enfin, l’initiative propose de “passer de la justice rétributive à la justice réparatrice dans l’ensemble du système de justice pénale; d’arrêter la destruction locale de l’environnement, de stopper le changement climatique, et le racisme environnemental; de poursuivre le progrès énergetique concernant l’eau propre, les énergies éolienne et solaire, avec une communauté verte à 100 pour cent, et en général, faire tout ce qui est possible pour aider la communauté locale à devenir plus solidaire, plus juste, plus accueillante, et, donc, d’avantage nonviolente.”

Les pratiques avancées par la culture des villes de paix comprennent la médiation, la justice réparatrice et la budgétisation participative, comme décrit dans les articles de CPNN précédents.

      

PARTICIPATION DÉMOCRATIQUE

Ashland

USA: Working on creating a culture of peace in Ashland

ÉQUALITÉ HOMMES/FEMMES

csw unionists

Les délégations syndicales commencent leur travail lors de la 60e Session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies

DISARMAMENT ET SECURITÉ

trident

United Kingdom: Thousands call for Britain’s nuclear deterrent Trident to be scrapped

DROITS DE L’HOMME

amnesty

2015: When Global Governments Trampled Human Rights in Name of National Security

TOLERANCE ET SOLIDARITÉ

rising

GLOBAL YOUTH RISING: Empowering passionate activists and peace workers from around the world– JULY 2016

DÉVELOPPEMENT DURABLE

einstein
Les Lauréats Sénégalais du “Next Einstein Forum” exposent les résultats de leurs travaux scientifiques

LIBERTÉ DE L’INFORMATION

guantanomo

Guantanamo could be turned from a war facility to a peace park

ÉDUCATION POUR LA PAIX

patrir
Romania: Systemic Peacebuilding, Conflict Transformation & Post-War Recovery and Reconciliation

Boletín español: el 01 de abril 2016

. CIUDADES DE CULTURA DE PAZ .

La cultura de paz se promueve cada vez más a nivel municipal de acuerdo a los artículos que hemos publicado este año en CPNN.

Al más alto nivel, la alcaldesa de Madrid, Manuela Carmena, y la alcaldesa de París, Anne Hidalgo, están planeando un foro internacional contra la violencia y para la educación para la paz. Junto con Bruselas, esas ciudades han sufrido los más terribles ataques terroristas en Europa. Mientras los estados nacionales buscan respuestas militares, las alcaldesas proponen la educación para la no violencia.

Mientras que los estados nacionales siguen fabricando armas nucleares, la red de Alcaldes por la Paz, con más de 6.900 ciudades en 161 países, sigue dando prioridad a la lucha por el desarme nuclear. Recientemente hemos publicado un artículo de una de sus ciudades miembros, Wellington, Nueva Zelanda.

La red de Ciudades Internacionales de Paz, con 130 ciudades miembros en 40 países, ha anunciado recientemente una alianza con la nueva red de Ciudades Compasivos que incluye 70 ciudades en casi 50 países que han afirmado la Carta por la Compasión, que promueve una cultura de paz al nivel local.

En los Estados Unidos hay un movimiento creciente de ciudades que llevan a cabo la transformación hacia una cultura de paz.

En New Haven, Connecticut, por cuarto año la Comisión de Paz, un órgano gubernamental de la ciudad, emitió un informe sobre la situación de la cultura de paz. El informe identifica las prioridades para la acción en la ciudad. Dos de sus prioridades aparecieron en los últimos artículos de CPNN: la justicia restaurativa en las escuelas, y la acogida de los refugiados.

La ciudad de Ashland, Oregon, estableció recientemente una Comisión de Cultura de Paz, y entre sus tareas está también un informe anual sobre la situación la cultura de paz en su ciudad. Otras tareas incluyen la capacitación de los embajadores de la paz, educación para la paz en las escuelas, un directorio de recursos comunitarios que promueven una cultura de paz, y un monumento con la Llama de la Paz Mundial.

Las organizaciones de la sociedad civil en Wilmington, Delaware, están desarrollando una “visión estratégica, un plan y un documento de los recursos que traerá la paz a Wilmington. El plan se ocupará de las acciones necesarias para transformar la cultura de violencia en cultura de paz. El plan incluirá el aporte de grupos cívicos, gobiernos de la ciudad y del estado, las iglesias, estudiantes, ancianos, y el público en general”.
Una nueva iniciativa tiene como objetivo crear una red de ciudades “no violentas”, basado en el modelo de una iniciativa en Carbondale, Illinois. Sus objetivos son similares a los de New Haven, Ashland y Wilmington: “Las ciudades sin violencia trabajarían para acabar con el racismo, la pobreza, la falta de vivienda, y la violencia en todos los niveles y en todas sus formas; desmantelar la segregación de viviendas y llevar a cabo la integración racial, social y económica; poner fin a la violencia policial; organizarse para poner fin a la violencia doméstica y enseñar la no violencia entre los cónyuges, y la no violencia hacia todos los niños, el trabajo para poner fin a la violencia de pandilla y enseñar la no violencia a sus miembros; enseñar la no violencia en todas las escuelas; ejecutar programas y políticas de inmigración menos violentas; asegurar que los líderes religiosos y comunitarios promuevan la visión de una ciudad no violenta; reformar las cárceles y prisiones locales para que sean menos violentos y educar a los guardias y detenidos en la no violencia; pasar de la justicia retributiva a la justicia restaurativa en todo el sistema de justicia penal; afrontar la destrucción del medio ambiente, el cambio climático, y el racismo ambiental, perseguir agua limpia, energía solar y eólica, y una comunidad un 100 por ciento verde; y, en general, hacer todo lo posible para ayudar a su comunidad local ser más desarmada, más reconciliada, más justa, más acogedora, más inclusiva y más no violenta “.

Entre las prácticas promovidas por las ciudades de cultura de paz están la mediación, la justicia restaurativa y los presupuestos participativos, tal como se publicó en los artículos anteriores de CPNN.

      

PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA

Mexico
La Ciudad de México: Aplicarán sistema de mediación en las 16 delegaciones

IGUALDAD HOMBRES/MUJERES

csw unionists

Education International and other Global Union Federation delegations begin their work at the 60th Session of the UN Commission on the Status of Women

DESARME Y SEGURIDAD

trident

United Kingdom: Thousands call for Britain’s nuclear deterrent Trident to be scrapped

DERECHOS HUMANOS

amnesty

2015: When Global Governments Trampled Human Rights in Name of National Security

TOLERANCIA Y SOLIDARIDAD

rising

GLOBAL YOUTH RISING: Empowering passionate activists and peace workers from around the world– JULY 2016

DESAROLLO SUSTENTABLE

Fishing

Fishing ban in remote Pacific waters is working, report finds

LIBERTAD DE INFORMACIÓN

guantanomo

Guantanamo could be turned from a war facility to a peace park

EDUCACIÓN PARA PAZ

patrir
Romania: Systemic Peacebuilding, Conflict Transformation & Post-War Recovery and Reconciliation

La Ciudad de México: Aplicarán sistema de mediación en las 16 delegaciones

. . PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA . .

Un artículo de Lemic Madrid, Azteca Noticias

En la Ciudad de México se aplicará el sistema de mediación, como un medio alternativo para resolver conflictos en las comunidades de las 16 delegaciones; con esta acción, los capitalinos tendrán la posibilidad de llegar a un acuerdo con las autoridades administrativas para resolver temas de seguridad, servicios o infraestructura urbana.

Mexico
Procurador Rodolfo Ríos Garza

El Tribunal Superior de Justicia y la Procuraduría General de Justicia de la capital, ayudarán en la capacitación y formación de los mediadores que trabajarán para garantizar el acceso a la justicia y los derechos de las partes en conflicto, buscando una solución satisfactoria en beneficio de la comunidad.

“La mediación comunitaria tiene un objetivo principal, de considerar a todas las personas como ciudadanos y ciudadanas con capacidad racional para dirimir voluntariamente sus conflictos, que no lleguen a los tribunales…Que sean ellas mismas con el apoyo de un mediador comunitario que legitime su pacto, las que encuentren la solución pactada y consensuada, frente al desencuentro del conflicto”, dijo el presidente del Tribunal de Justicia capitalino, Edgar Elías Azar.

Durante su participación en la firma del acuerdo para implementar dicho sistema, en las 16 delegaciones de la capital, señaló que en el ámbito penal, esta estrategia ha generado ahorro de recursos y tiempo para los usuarios al establecer un dialogó entre las partes en conflicto.

Al respecto el procurador capitalino, Rodolfo Ríos Garza, señaló que el sistema de mediación ha generado buenos dividendos al garantizar la reparación del daño y acortar la solución de un conflicto, con un dialogo entre ambas partes.

“Esto puede observarse a través de la actividad que realizan las unidades de mediación en procuración de justicia, las cuales, de enero de 2015 a febrero de 2016, iniciaron 7,326 expedientes; de los que se han derivado la suscripción de 1,871 convenios y 860 acuerdos reparatorios, lográndose así la adecuada solución de controversias entre las partes implicadas en un conflicto de contenido penal”, dijo el procurador capitalino, Rodolfo Ríos Garza.

Durante su participación en la firma del acuerdo para aplicar el sistema de mediación en las 16 demarcaciones de la capital, el abogado de la ciudad señaló que estos resultados fueron los que llevaron a proyectar los beneficios de esta estrategia a otros ámbitos de la vida pública.

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Pregunta(s) relacionada(s) al artículo

Les délégations syndicales commencent leur travail lors de la 60e Session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies

. . . EGALITE HOMMES/FEMMES . . .

Un article de Internationale de l’Education

La délégation syndicale présente à New York, aux Etats-Unis, est composée de 150 femmes dirigeantes syndicales issues de 34 pays du monde, un nombre sans précédent. La délégation de l’Internationale de l’Education (IE) à la 60ème session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW60) a rejoint les autres délégations de fédérations syndicales internationales pour la première semaine des délibérations de la Commission (du 14 au 18 mars).

csw unionists
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Nora Fyles, Responsable du Secrétariat de l’Initiative des Nations Unies pour l’éducation des filles (UNGEI). Fyles a donné une courte présentation portant sur le thème ‘Policy Advocacy: UNGEI Speaking Out for Girls’ Education’ (plaidoyer politique: l’UNGEI s’exprime pour l’éducation des filles), qui a été suivie d’une conversation avec les déléguées de l’IE au sujet des activités de plaidoyer de leurs syndicats respectifs sur le thème de l’éducation des filles et autres problématiques liées au genre et l’éducation.

Plus tard dans la journée, les déléguées de l’IE ont rejoint la délégation syndicale dans son ensemble pour une séance d’information lors de laquelle les délégué(e)s nouveaux/elles et aguerri(e)s ont reçu des informations concernant la première semaine de la CSW60, ainsi que sur les événements prévus par les fédérations syndicales internationales, l’Organisation internationale du Travail et les principaux alliés parmi les milliers d’organisations des droits des femmes actuellement présentes à New York pour assister à la CSW60.

Le thème prioritaire de la CSW60 est l’Autonomisation des femmes et lien avec le développement durable; et le thème examiné est l’Élimination et prévention de toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles (conclusions concertées à la CSW57). Le thème prioritaire est auspicieux car la CSW60 est le premier événement majeur des Nations Unies à se dérouler depuis que l’agenda pour le développement durable 2030 a été convenu, et les nouveaux objectifs de développement durable ont été adoptés en septembre 2015. La CSW60 représente donc une occasion unique de rassembler la communauté du genre et de l’éducation pour un dialogue autour des liens entre l’objectif de développement durable 4 sur l’éducation et l’objectif de développement durable 5 sur l’égalité des sexes.

Le mercredi 16 mars, en collaboration avec la mission de la Norvège auprès des Nations Unies et l’UNGEI, l’IE organisera conjointement un événement parallèle intitulé ‘Financement de l’éducation: une clé pour l’autonomisation des femmes et des filles’. La présidente de l’IE, Susan Hopgood, prendra la parole, ainsi que Tone Skogen, la Ministre adjointe des Affaires Etrangères de Norvège, Geeta Rao Gupta, Directrice exécutive adjointe de l’UNICEF, Meighan Stone, Présidente du Malala Fund et Justin van Fleet, Directeur de la Commission internationale sur le financement des opportunités éducatives dans le monde. L’événement sera animé par Yannick Glemarec, Directeur exécutif adjoint Politique et Programmes d’ONU Femmes, et les remarques introductives seront offertes par Alice Albright, Directrice générale du Partenariat mondial pour l’éducation.

Lire la déclaration conjointe officielle des fédérations syndicales internationales relatives à la CSW60, cliquez ici pour découvrir le travail des délégué(e)s syndicaux/ales.

Suivre la délégation des fédérations syndicales internationales à la CSW des Nations Unies sur Twitter : https://twitter.com/unioncsw .

(Merci à Janet Hudgins, le reporter de CPNN pour cet article)

(Cliquez ici pour une version anglaise.)

Pregunta(s) relacionada(s) al artículo

Does the UN advance equality for women?

The following article by Lyndal Rowlands in the Inter Press Service, suggests that the UN is not making much progress on its commitments for women’s equality:

2015 marks anniversaries for two significant commitments made to increasing women’s participation at peace tables.

Yet despite the Beijing Platform for Action and the Security Council Resolution 1325 both committing to increasing women’s participation in peace building 20 and 15 years ago, respectively, there has been very little progress to report.

The latest available statistics show that women made up only 9 per cent of negotiators at peace tables between 1992 and 2011. That the most recent data is from 2011 shows that more work is needed even in basic areas such as data collection and reporting of women’s participation in peace building.

IPS summarises here four reasons we should value women’s participation at the peace table more, based on discussions at the 59th Commission on the Status of Women (CSW) over the past week.

Beijing Platform for Action Section E

Women and Armed Conflict Diagnosis

Strategic objective E.1. Increase the participation of women in conflict resolution at decision-making levels and protect women living in situations of armed and other conflicts or under foreign occupation. Actions to be taken.

Strategic objective E.2. Reduce excessive military expenditures and control the availability of armaments. Actions to be taken.

Strategic objective E.3. Promote non-violent forms of conflict resolution and reduce the incidence of human rights abuse in conflict situations. Actions to be taken.

Strategic objective E.4. Promote women’s contribution to fostering a culture of peace. Actions to be taken

Strategic objective E.5. Provide protection, assistance and training to refugee women, other displaced women in need of international protection and internally displaced women. Actions to be taken.

Strategic objective E.6. Provide assistance to the women of the colonies and non-self-governing territories. Actions to be taken.
Women Bring Commitment and Experience to the Peace Table
Often the first people invited to participate in formal peace negotiations are the people holding the guns and the last are women who have expertise in building lasting peace.

Zainab Bangura, Special Representative of the Secretary-General on Sexual Violence in Conflict, told a CSW side event on Tuesday last week, “In the Central African Republic, the only community where they were not killing each other was a community where the Christian women said, ‘These Muslim women are our sisters.’

“Why? Because the women in the community said, ‘We have lived together for the last 100 years’,” Bangura said.

In the Phillipines, Irene Santiago was a member of the government panel that negotiated peace with the Moro Islamic Liberation Front. Santiago came to the table with years of experience working with Christian, Muslim and Indigenous women leaders for peace.

Speaking at a CSW side event at the International Peace Institute (IPI) on Thursday, Santiago said that she knew that her years of experience working with civil society for peace stood her in good stead to make a significant contribution to formal peace negotiations, which she did.

Speaking with IPS, Santiago said women’s voices not only have to be heard, but that they also have to be acted on.

“For women. It’s almost never always about themselves, it’s always about our children, our husbands but also about our communities,” Santiago told IPS.

In Africa, women have fought to be included in peacemaking, even when their contributions have not been recognised.

Bineta Diop, Special Envoy on Women Peace and Security to the African Union, says that mediators need to be held accountable when they only invite the people who hold guns to the peace table and ignore women’s contributions.

“I have been involved in many crises where women were knocking at the door and saying we want to be at the table,” Diop said.

Ambassador Anwarul Chowdhury, known as the father of Security Council Resolution 1325, said that the determination of African women to be involved in peace negotiations should be seen as an inspiration by other countries.

Despite serious difficulties, war and conflict, African women have shown continued determination to hold their countries accountable, Chowdhury said.

Gender Equality in Peace Time Prevents Conflict
Also speaking at the IPI, Valerie Hudson, co-author of ‘Sex and World Peace’, said that her research has shown that the way women are treated within a country is one of the most accurate indicators of the quality of relations that country will have with other countries.

Diop agreed with Hudson, saying that countries that are likely to fall into conflict have higher levels of discrimination and inequality.

“Discrimination against women, especially the non-participation and non-inclusion of women in democracy is … one of the root causes of the conflict,” Diop said.

Ambassador Choudhury agreed with these sentiments, telling IPS, “I believe that no country can claim that their country is not in conflict if women’s rights are denied, if women’s equality is not ensured, if women’s participation at all participation levels is not there.

“I think that if we women are violated, if women’s equality of participation is not there we cannot say that we are at peace, we are in conflict with ourselves. This is a conflict which is happening within ourselves and within the countries. We don’t have to go into the traditional description of conflict, civil conflict or fighting with another country,” Chowdhury added.

Dr. Youssef Mahmoud, Senior Adviser at the International Peace Institute also speaking at the IPI event said, “A world where 51 per cent are ignored is a dangerous world for everyone. I can’t imagine why any men would be indifferent to this.”

Women Are Active In Civil Society
Several discussions at the CSW questioned why militaries were the primary actors in peace building, while non-governmental organisations (NGOs) and civil society’s expertise was not called on.

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Women Walk for Peace in the Korean Peninsula
Santiago told IPS that civil society, especially women, have a lot to contribute to humanise, to concretise, and to make peace negotiations relevant to people’s lives.

Winnie Kodi from the Nuba mountains in Sudan told reporters on Monday that civil society was vital to helping indigenous communities like her own that have been affected by conflict. She said that the main way her people were able to have their voices heard was by working together with NGOs and civil society.

Chowdhury told IPS he is advocating for the U.N. and governments to hold more consultations with civil society, saying that the involvement of women and of civil society is very important.

Santiago also called for renewed focus on the important role of NGOs in the area of women, peace and security,

“Again I see that why are we focusing on the UN as the locus of change,” she said. “To me it is not, it is the means, it is an important audience, but it is not the locus of social change.

“Let us form the global civic networks that we need to bring about the local global and civil change that we need” Santiago said.

Women Challenge The Causes of Conflict
Challenging militarism and militarisation was another theme discussed during the first week of the CSW, particularly by civil society groups at the parallel NGO forum.

Choudhury told IPS that increased militarism and militarisation is slowing down efforts for equality. “Increasing militarism and militarisation has really been effecting women in a very negative way. This is something that women should stand up against, we should all stand up against,” Chowdhury said.

Militarisation is also affecting indigenous women and men. Maribeth Biano, from the Asian Indigenous Women’s Network, told reporters on Monday that Indigenous women are hugely affected by militarisation in Indigenous territories.